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Tourisme spatial Un tourisme qui fait r |
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Le tourisme spatial semble vraiment proche. Un tourisme qui demande beaucoup d’argents à dépenser, des deux côtés, touriste ou opérateur, mais qui fait rêver et même tenter certains à l’exploiter en tant que nouveau mode touristique ou nouvelle destination touristique. L’on se souvent dès lors des 7 touristes, envoyés dans la Station spatiale internationale par la Russie de 2001 à 2009, qui on déboursé des dizaines de millions de dollars.
Tout d’abord, il faut faire connaitre le tourisme spatial. Comme son nom l’indique, c’est l'activité touristique qui regroupe l'ensemble des expériences, entrainements, vols à sensations, qui permettent à des personnes d'aller dans l'espace pour des motifs non professionnels.
Le tourisme spatial s'est d'abord développé à l'initiative des responsables du programme spatial russe, à la recherche de sources de financement à la suite de la crise économique qui a touché leur pays dans les années 1990, selon wikipédia. Sept personnes ont pu donc effectuer un séjour de quelques jours dans la station spatiale internationale entre 2001 et 2009 en déboursant entre 20 et 35 millions de dollars. L'expression « tourisme spatial » a été inventée par les journalistes américains, après la réussite du vol suborbital de SpaceShipOne en 2003. Ce vol effectué dans le cadre d'un concours l'Ansari X Prize était destiné à prouver que le grand public pouvait avoir accès à l'espace. Les concurrents devaient concevoir un engin capable de monter jusqu'à une altitude de 100 km (de manière conventionnelle limite inférieure de l'espace) à deux reprises dans un délai maximum de 15 jours. Toujours selon la même source, de manière conventionnelle on considère qu'un séjour dans l'espace nécessite de dépasser l'altitude de 100 km (ligne de Karman). À cette altitude l'atmosphère, très peu dense, n'oppose pratiquement plus de résistance. On peut parvenir à cette altitude dans le cadre d'un vol orbital ou suborbital.
Ces dernières années, et pour faire baisser drastiquement les prix, des sociétés privées envisagent des véhicules à mi-chemin entre l'avion et la fusée, permettant de faire des vols "suborbitaux", soit juste au-dessus de la frontière entre l'atmosphère et le vide spatial.
Mais jusque là, les experts et professionnels parlent de risque en se posant des questions sur le cadre juridique. Justement, l'Organisation de l'aviation civile internationale a indiqué travailler sur un ensemble de règlements pour encadrer le transport spatial, y compris le tourisme. En attendant que les normes se mettent en place, c'est le grand flou. S'ils quittent l'atmosphère terrestre, les touristes spatiaux seront-ils considérés comme des astronautes? «Actuellement, c'est le cas même si on ne passe que 5 minutes dans l'espace», estiment les experts du droit spatial.
En attendant une réglementation internationale, il y a actuellement la législation américaine. Aux Etats-Unis il y a une loi pour encourager les vols suborbitaux. Selon les dernières informations recueillies sur internet, le constructeur du vaisseau est responsable en cas de faute technique, mais les futurs touristes doivent signer une déclaration de consentement affirmant que l'opérateur "ne peut pas être tenu responsable de la mort d'un participant résultant des risques inhérents au voyage spatial".
En attendant que tout cela soit clair, le sujet fait rêver plus d’un qui sont tentés de visiter l’espace pas en tant qu’astronaute mais plutôt en tant que touriste.
F.A. |
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