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Aïn El Fouara. Qui d’entre nous ne connait pas cette fontaine qui a inspiré des dizaines d’artistes. On dit dans la tradition, celui qui boit de son eau pour la première fois, sera tenté de revenir dans la ville. Sétif dispose en fait, en plus de cette belle fontaine, de potentialités touristiques indéniables.
La fontaine est un chef-d’œuvre de la sculpture monumentale représentant une femme dénudée juchée sur un rocher haut de 2 mètres, attirant les passants en leur offrant une eau pure jaillissant des interstices et des amphores. Selon les historiens, Aïn Fouara, dépassant largement son centenaire, n’a pas d’âge. Vite adoptée et chérie par une population vaillante, cette fontaine humanoïde au service de l’utilité commune trouva chez le Sétifien toute la protection et la gratitude. Devenue symbole, Aïn Fouara incarne d’une certaine manière l’histoire de Sétif et se confond aujourd’hui au quotidien sétifien, bon an mal an.
Sétif peut se venter également d’autres sites archéologiques notamment celui de Djemila, la réserve nationale de Babor classé patrimoine mondial, les nombreuses stations thermales existantes (Hantant Guergour, Hamam Sokhna, hamam Ouled Yelles etc...) sont autant d'atouts pour la promotion d'un tourisme culturel, climatique et thermal.
Les musées archéologiques de Sétif et de Djemila disposent quant eux de pièces uniques de renommé internationale et qui témoignent d'un passé culture riche de la région. On dit que ce support touristique contribuera au rayonnement de la ville de Sétif en tant que métropole régionale.
On dit aussi que son patrimoine archéologique, ses atouts touristiques et ses potentialités pour la promotion d'une industrie artisanale, plaident pour placer la région de Sétif comme une métropole régionale et nationale du tourisme en Algérie.
En effet, la ville est riche en vestiges archéologiques romains, byzantins, vandales, arabes et coloniaux, disposant de deux musées, l'un à Sétif l'autre à Djemila à vocation nationale et régionale, recelant des pièces uniques et de renommée universelle, disposant de sites et de vallées classées patrimoine mondial (réserve des Babors). Sétif comprend en outre de nombreuses stations thermales (Guergour, Dehamcha, Hama, Sokhna, Ouled Yelles...).
Les montagnes du nord aux nombreux villages kabyles, véritable terrains de l'artisanat, le tapis de Guergour, les bijoux de Béni-Ourtilene et ses zaouias, la poterie de Beni-Aziz et des Babors de Guenzet, un décor qui s’offre à tous ceux qui aimerait visiter cette ville.
Sétif, connue pour son riche patrimoine archéologique, reste l'une des plus grandes villes d'Algérie.
La ville a été le point de départ des manifestations du 8 mai 1945. La ville de Sétif dispose de nombreux sites touristiques à voir. Les touristes pourront visiter outre la fontaine Ain El Fouara, la fontaine Ain Droudj, le mausolée Sid El Khier, le tombeau de Scipion l'Africain, le rempart et la tour de garde islamiques, la muraille Byzantine, les mosquées d' El Atik, de Birguey, de Ben Badis, d'El Bachir El Ibrahimi ou encore celle de Bilal Ben Rabah. Le musée national d'Archéologie et le cimetière Sidi El Khier valent également le détour. La ville compte aussi de nombreux jardins à découvrir : le jardin Reffaoui ex-Baral, le jardin Emir Abdelkader, le jardin Chellal et la forêt de Zenadia.
La ville est également connue pour ses plats traditionnel: la Berboucha sétifienne, la chorba (soupe traditionnelle, avec du mouton, des légumes, de la tomate, des épices, des vermicelles), les boureks, le couscous, la rechta algéroise, les tajines, le méchoui, la Ghraif sétifienne.
Historiquement parlant, et en se référant aux informations de saravoyage, Appelée Sitifis du temps des romains, Sétif tire sa dénomination du mot berbère Esedif, qui signifie "terre noire".
Après l'occupation romaine, la région fait partie de la Maurétanie Césarienne, avant de connaître sous Diéclotien, en l'an 297, sa propre autonomie sous la nom de Maurétanie Sitifensis (entre la Maurétanie Césarienne et la Numidie) et un développement prospère dont témoignent les cités de Cuicul (Djemila) et Mons (près de Béni Fouda).
Invasion des vandales et tremblement de terre se conjugueront pour mettre à bas la ville de Sétif, laquelle sera partiellement restaurée par les Byzantins en 539. Toujours selon le même site, son intégration à la civilisation arabo-musulmane est marquée par le rôle primordial que joue la tribu berbère des Koutama de la région de béni Aziz, en 904, dans la fondation de la dynastie des Fatimides. Sous les Turcs, Sétif sombre dans l'anonymat, avant de se réveiller le 15 décembre 1848 en voie d'occupation par les troupes du général français Galbois. Prés d'un siècle plus tard, le 8 mai 1945, des milliers de personnes sont massacrées par les colonisateurs à Sétif, Ain El-Kebira et béni Aziz. Ce génocide devient symbole de sacrifice dans la lutte pour l'indépendance nationale.
Synthèse Fatiha Aïd. |
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