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Guelma Une r |
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Guelma à l’instar de toutes les autres wilayas du pays donne de l’importance, chaque année, à la célébration, de la journée mondiale du tourisme qui coïncide avec le 1er octobre. En 2016 le fait le plus saillant de la célébration de cette journée a été marqué par l’ouverture d’un nouvel hôtel à Belkheir. Et dire que les responsables locaux donnent de l’importance au développement touristique de la région.
Une région qui engorge de sites archéologiques, de sources thermales, de jardins archéologiques, de grandes cascades qui peuvent attirer des milliers de touristes locaux ou étrangers. Parmi les sites archéologiques qui font parler d’eux, on peut citer le théâtre antique. L’office du tourisme de Guelma parle d’un «témoin du rayonnement culturel de la ville au début du troisième siècle. De part et d'autre du mur de scène trônent deux statues de marbre blanc d'Esculape et de Neptune». L'arrière-scène abrite une salle de musée d'un grand intérêt archéologique.
Il y a aussi l’enceinte de l’ex-caserne qui est aussi bien l’emplacement des premiers baraquements militaires français que celui de la forteresse byzantine. Un lieu historique qui peut être exploité dans le tourisme de guerre. Là, fut construite «Guelma de la décadence» selon Duvivier, quand les habitants résolurent de bâtir une nouvelle place de guerre, une nouvelle forteresse qui pût leur donner refuge... et pour la construire plus vite et à moins de frais, ils employèrent tous les matériaux de l’ancienne Guelma, qu’ils démolirent en entier.
Visiter Guelma c’est passer par le square. Selon l’office du tourisme, à l’origine botanique, la ville ayant encouragé la culture des multiples espèces de plantes, une fois l’espace acquis par ses soins auprès de l’autorité militaire au 19e siècle, le square a servi à l’installation du premier musée de plein air pour récupérer toutes les collections archéologiques en provenance des sites de la région, recueillis lors des fouilles, au début du 20e siècle aussi bien à la toute proche Thibilis, qu’à Thubursicu Numidarum et Madauros dans l’actuelle wilaya de Souk Ahras.
D’autres merveilles sont à visiter à Guelma comme les restes de la muraille. «Au démarrage de la construction, sur les ruines de Calama, de ce qu’on a appelé le nouveau village, noyau de la ville actuelle, au milieu du 19e siècle, on a fixé au projet les limites du site antique, près du quart de la superficie étant la portion occupée par les militaires».
Quant aux thermes romains, leur ruine est imposante par ses dimensions et par l’état de conservation de quelques unes de ses parties. Elle se situe dans l’enceinte de l’ex-caserne – entre la porte dite «de Souk Ahras» et l’entrée principale du lycée du 1er novembre - car, à l’époque byzantine déjà, l’édifice fut enclavé dans la citadelle construite à l’aide des matériaux de l’ancienne ville ou plutôt «fut partie intégrante» du rempart car il pouvait être très utile dans la défense.
Le jardin archéologique fait aussi parlé de lui. De création récente, il contient les collections qui séjournaient, depuis 1904, dans l’ancien square de la ville et dont le transfert, survenu au début des années 2000, vise leur protection dans un lieu plus sûr ayant une clôture qui ferme, le 1er endroit étant devenu une voie de passage pour les uns et des allées de rencontre ou de séjour pour les autres, pendant plus de 20 ans. On y trouve donc des inscriptions, des statues de divinités et d’autres, des piédestaux, des éléments d’architecture, des chapiteaux, des monuments funéraires...
La grande cascade figure parmi les endroits féériques à contempler dans la ville de Guelma. La grande cascade est due aux griffons dont elle reçoit les eaux thermales. Elle constitue une merveille et occupe une surface presque verticale de trente mètres de hauteur au-dessus d’un tronçon de l’oued Chédakha, à son passage au bas du théâtre de plein air, longeant l’aire aménagée en promenade. La surface tombante est coupée en différents points comme par des étages de vasques élégantes qui amortissent la chute de l’eau. Si elle est d’une blancheur éclatante, là où l’eau coule en abondance, affectant les couleurs les plus variées, aux endroits secs ou à courant peu considérable, ses incrustations calcaires sont colorées en teintes diverses dont les jaunes rougeâtres provenant de la présence de champignons microscopiques.
Guelma pourrait être une destination très appréciée par les touristes, locaux ou étrangers pourvu que toutes ces merveilles soient mises en valeur pour garder leurs aspects touristiques.
F.A. |
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